Le guide touristique de Athènes, Grèce

Athènes – la plus grande ville de la Grèce et une des plus grandes villes de l’Europe. Sa population compte 3.192.606 habitants, c’est presque 40 % du nombre total de la population du pays. On appelle Athènes comme le centre du monde. Dans cette ville il y a tout: c’est la patrie des jeux Olympiques, la ville des hommes de l’art, le centre culturel et de science et le repère pour n’importe quel voyageur. Cette belle ville est plaine de surprises et de contrastes.

l’Acropole et le Parthénon.
l’Acropole – le symbole d’Athènes. Au centre de la ville il n’y a pas presque de places, d’où ne seraient pas visibles les colonnes de son principal temple – le Parthénon. L’acropole signifie en grec «la ville supérieure. C’est le plateau de calcaire de la hauteur 156 m qui forme La vieille ville et qui se représente une principale curiosité d’Athènes. Les portes monumentales qui conduisent à la colonnade Propylées servent de l’entrée à l’Acropole, à gauche Des Propylées adhère la galerie d’art, la Pinacothèque, et à droite - le plus petit de trois temples de l’Acropole, le temple de la déesse Nika, où en ce moment on fait les travaux de relèvement. Des jeunes vierges, les cariatides célèbres, soutiennent le toit du portique du deuxième temple, le temple Érechthéion. Cependant, le temple le plus impressionnant de l’Acropole est, sans doute, le Parthénon, à l’intérieur de qui, sur un haut piédestal, il y avait une statue célèbre en bois de la protectrice de la ville, la déesse Athéna Parthénos orné de l’or et l’ivoire.

Le Parthénon – le sommet de l’art architectural. Les créateurs du bâtiment ont pris en considération les particularités de la vue humaine et ont fait tous les plans du bâtiment un peu arrondis, cette courbure intentionnelle, ainsi que de différentes distances entre les colonnes qui semblent identiques, font l’impression de l’harmonie absolue : toutes les lignes du bâtiment semblent impeccablement horizontales et verticales. Le soir, grâce à l’éclairage, l’Acropole représente le spectacle charmant particulièrement.

Le théâtre de Dionysos.
Le théâtre de Dionysos installé non loin du pied de l’Acropole, est le théâtre le plus vieux de l’Europe et le berceau de la tragédie grecque. Déjà au VI siècle avant J.C. on donnait ici les représentations. La scène théâtrale était faite à cette époque de la terre foulée, et le public s’installait sur les pentes de la colline et près de la scène. Plus tard dans le théâtre il y avait des bancs en bois, qui étaient remplacés au total par les sièges en pierre. Cela s’est passé après que les bancs se sont écroulés, à la suite de quoi une grande quantité de gens a péri. Le théâtre s’élargissait tout le temps, ce procès se prolongeait jusqu’à la période entre 342 et 326 ans avant J.C. Après l’achèvement des travaux 17.000 personnes peuvaient s’installer ici sur 67 séries de fauteuils de marbre. Malheureusement, jusqu’à nos jours seulement les ruines du théâtre légendaire sont arrivés.

Temple de Zeus.
À environ 500 mètres au sud de l’Acropole il y a temple de Zeus olympien ou, comme on l’appelle encore, l’Olympiéion. Les travaux sur ce temple ont duré quelques siècles et n’ont terminé qu’au II siècle, pendant le règne de l’empereur romain Hadrien, grand admirateur de la culture grecque. À ce temps le temple de Zeus était le plus grand en Grèce, sa longueur était de 96 m, largeur – de 40 m, le bâtiment était décoré de 104 colonnes corinthiennes de hauteur de 17 mètres, dont seulement 15 ont survécu et les fragments de la 16-ème colonne, qui s’est effondrée lors d’une tempête en 1852. Encore avant l’achèvement des travaux de construction le général romain Sylla a pris deux colonnes à Rome pour en orner le temple de Jupiter, après quoi le style architectural corinthien est devenu très populaire à Rome.

L’empereur Hadrien a dédié le temple grec au dieu suprême Zeus. Sur ses ordres dans le temple on a placé une immense sculpture de Zeus, décorée d’or et d’ivoire, et la statue de même taille de l’empereur lui-même. Non loin du temple il y a l’Arc de marbre d’Hadrien de 18 mètres, qui sépare Athènes ancienne et nouvelle, le symbole de la puissance de l’empereur. L’inscription sur le côté face de l’Acropole se lit ainsi: “C’est Athènes, l’ancienne ville de Thésée”. D’autre part on peut lire: «Cette ville n’est pas de Thésée, mais d’Hadrien».

Le quartier de Plaka.
Plaka - le plus vieux quartier d’Athènes, qui se trouve entre l’Acropole et le temple de Zeus. Ses petites rues comfortables avec beaucoup de boutiques de souvenirs et de restaurants attirent un grand nombre de touristes. Plaka - le quartier le plus pittoresque d’Athènes, où vous oubliez que vous êtes dans une grande ville, habitée par 4 millions de personnes. Un lieu spécial à Plaka est le village Anafiotika, connu pour ses maisons blanches comme neige. Selon la légende, l’oracle de Delphes a interdit de construire des maisons à cet endroit, mais deux constructeurs sans-abri qui ont cherché refuge dans le quartier de Plaka, ont pu, à travers son art, juste pour une nuit à construire une petite maison. Les gardes, qui sont venus le lendemain matin pour vérifier, ont eu pitié et n’ont pas chassé les habitants. Depuis, ici il y a une règle: si vous construisez un abri pour une nuit - vous pouvez rester.

Le quartier de Monastiraki.
Au nord du quartier de Plaka il y a le quartier de Monastiraki, qui a beaucoup en commun avec le bazar oriental, surtout le dimanche, lorsque des centaines de vendeurs étalent leurs marchandises à la vente. Le marché est situé juste à l’ouest de la place Monastiraki, sur la olace Avyssinia et les rues autour. Après avoir erré dans la journée dans Plaka et Monastiraki, on peut passer le soir dans les quartiers de Psyrri ou de Gazi, situés à proximité. Ici il y a beaucoup de restaurants, de bars et de clubs, où les Grecs passent leur temps libre. Et faites attention si vous vous trouvez au cours d’un carnaval à Plaka, car vous serez toujours en danger d’être saupoudré de confetti coloré!

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